MARC 15.33-41 JÉSUS SUR LA CROIX : MON DIEU, MON DIEU POURQUOI M’AS TU ABANDONNÉ ? (PAROLES 4)

MARC 15.33-41 JÉSUS SUR LA CROIX : MON DIEU, MON DIEU POURQUOI M’AS TU ABANDONNÉ ? (PAROLES 4)

Prédication culte du dimanche 10 mars 2024 par le pasteur Claude Missidimbazi

‭‭« La sixième heure étant venue, il y eut des ténèbres sur toute la terre, jusqu’à la neuvième heure. Et à la neuvième heure, Jésus s’écria d’une voix forte : Éloï, Éloï, lama sabachthani ? ce qui signifie : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? Quelques-uns de ceux qui étaient là, l’ayant entendu, dirent : Voici, il appelle Élie. Et l’un d’eux courut remplir une éponge de vinaigre, et, l’ayant fixée à un roseau, il lui donna à boire, en disant : Laissez, voyons si Élie viendra le descendre. Mais Jésus, ayant poussé un grand cri, expira. Le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas. Le centenier, qui était en face de Jésus, voyant qu’il avait expiré de la sorte, dit : Assurément, cet homme était Fils de Dieu. Il y avait aussi des femmes qui regardaient de loin. Parmi elles étaient Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques le mineur et de Joses, et Salomé, qui le suivaient et le servaient lorsqu’il était en Galilée, et plusieurs autres qui étaient montées avec lui à Jérusalem. »

‭‭(Marc‬ ‭15‬:.33‬-‭41‬)

Introduction

Si l’on considère les quatre évangiles, le Christ Jésus a prononcé sept paroles à la Croix : 

  1. La première parole parle du pardon générale que Dieu donne aux hommes : « Pardonne-leur » (Luc 23.33-34)
  2. La seconde parole parle de la grâce spéciale : « Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis » (Luc 23.39-43)
  3. Par la troisième parole, le Christ prend le temps de prendre soin de sa mère : « Femme, ton fils ; fils, ta mère.» (Jean 19.25-27)
  4. Nous allons nous pencher ici sur la quatrième, qui est la plus difficile. Elle parle de l’isolement et l’abandon : « Mon Dieu, pourquoi m’as-Tu abandonné ? » (Marc 15.34)
  5. La cinquième parole parle du «désir» de sauver : «j’ai soif » (Jean 19:28-29)
  6. La sixième parole parle de l’œuvre accomplie : « Tout est accompli » (Jean 19:30)
  7. Enfin dans la septième parole, le Christ expire, c’est le retour auprès du Père : « Entre tes mains je remets mon esprit »(Luc 23:46)

Il est bon et important de méditer sur la Croix : c’est le cœur de l’Évangile et le trône de Dieu.

Dès les premiers temps de l’Église, la foi en Jésus Christ, Messie crucifié sous Ponce Pilate, fut considérée comme un scandale, et même une folie (au dire de l’apôtre Paul)

Les événements lors de la mort du Christ selon Marc

L’évangéliste Marc met en évidence six événements lors de la mort du Christ Jésus :

  • v.33 L’obscurité locale pendant 3 heures
  • v.34-36 Le cri d’angoisse de notre Seigneur
  • v.37 Le dernier cri et la mort de notre Seigneur 
  • v.38 La déchirure du rideau du Temple 
  • v.39 La confession du centurion romain
  • v.40-41 Le témoignage des femmes 

Suivons ce récit, si particulier et saisissant.

L’obscurité locale pendant 3 heures

« La sixième heure étant venue, il y eut des ténèbres sur toute la terre, jusqu’à la neuvième heure. » (Marc‬ ‭15‬.33‬)

Il est maintenant midi, le Christ est suspendu à la Croix depuis trois heures. 

Un fait surnaturel arrive, venant de Dieu : « il y eut des ténèbres sur toute la terre », alors qu’on est au moment le plus lumineux de la journée !

Jésus, Lui l’innocent, a été attaché depuis 9h, et a souffert jusqu’à 15h, une durée de 6 heures. Quel spectacle terrifiant.

Le cri d’angoisse de notre Seigneur

« Et à la neuvième heure, Jésus s’écria d’une voix forte : Éloï, Éloï, lama sabachthani ? ce qui signifie : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? Quelques-uns de ceux qui étaient là, l’ayant entendu, dirent : Voici, il appelle Élie. Et l’un d’eux courut remplir une éponge de vinaigre, et, l’ayant fixée à un roseau, il lui donna à boire, en disant : Laissez, voyons si Élie viendra le descendre. » (Marc 15.34-36)

Le Christ Jésus crie : « Éloï, Éloï, lama sabachthani ? ce qui signifie : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »

Cette quatrième parole du Christ a été prononcée à haute voix.

Ce cri peut être le plus déchirant de toute la Bible.

Il s’agit d’une citation du Psaume 22 : « Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m’as-tu abandonné, Et t’éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? »(v.1)

Cette citation identifie Jésus au juste souffrant de ce psaume.

Connaissant bien les Écritures, le Christ était capable de S’approprier ces paroles des psaumes pour S’adresser à Dieu.

Ici notre S.eigneur crie en araméen, Sa langue maternelle.

Ce cri n’était pas celui d’une douleur physique ou d’une confusion psychologique ou encore d’une peur de la mort.

Ce cri déclarait la même vérité que les ténèbres qui étaient apparues : c’était le cri du Fils de Dieu qui faisait l’expérience de la séparation d’avec le Père et l’abandon par Lui, lorsque Jésus a pris sur Lui tous les péchés, de chaque homme, chaque femme, chaque enfant.

Le livre d’Esaïe l’enseigne : « […] L’Éternel l’a puni pour l’iniquité de nous tous… » (Esaïe 53.6).

C’est le prix que le Christ a payé en tant que rançon (Marc 10.45).

Nous remarquons qu’à cet instant, le Christ Jésus ne prie plus en disant  « Père » mais en disant « Mon Dieu » : Il ne Se reconnaît et ne Se connaît pas ici comme le Fils du Père mais comme le sacrifice du pécheur.

Le verbe « abandonner » peut être traduit aussi par « délaisser »« déserter »

Dans le cas du Christ crucifié, il est alarmant de constater qu’il n’a pas été seulement persécuté par les hommes, mais qu’Il a été aussi abandonné par Son Père.

Et il ne s’agissait pas que d’un ressenti. C’était une réalité.

Bien avant, le Père avait pourtant déclaré à plusieurs reprises : « Celui-ci est mon fils bien-aimé en qui J’ai mis toute mon affection. » (Matthieu 3.17, 17.5, Luc 3.22, Marc 9.7)

Le Christ Jésus a toujours fait ce qui était agréable à Son Père. Mais là, attaché à la Croix, Il va connaître cette douloureuse séparation. 

Pourquoi un Dieu saint abandonnerait-Il ainsi Son Fils saint et bien-aimé, même temporairement ? 

D’autant plus que le Christ Jésus avait rassuré auparavant Ses auditeurs en disant : «  […] Mais je ne suis pas seul, car le Père est avec moi. » (Jean 16.32)

C’est l’un des mystères les plus profonds de l’univers.

Pour répondre à cette question, deux passages de l’Écriture apportent un éclairage adéquat :

1. « Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu. » (2 Corinthiens 5.21)

Le Christ était pur, et en Lui il n’y avait aucune fraude, ni extérieurement, ni intérieurement, à aucun moment Sa conscience n’a été souillée par le péché.

Mais ici, le Père a traité le Christ comme si Il était le péché, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu !

2. « Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous, car il est écrit : Maudit est quiconque est pendu au bois… » (Galates‬ ‭3‬.13)

Le Christ nous a délivré de la malédiction de la loi, en devant pour nous le maudit. Car il est écrit : la malédiction pèse sur toute homme qui a péché. Et quiconque est pendu à un poteau est maudit. Car le salaire du péché c’est la mort.

Ainsi on peut comprendre que le Père S’est détourné de Son propre Fils bien aimé, parce que là sur la Croix, le Christ portait nos péchés.

Lorsque le Fils de Dieu a assumé une place qui a fait de Lui l’objet du rejet de Dieu, il a fallu que le Père abandonne temporairement Son Fils.

Lorsque le Christ a enduré la malédiction divine, qui revenait de droit aux transgresseurs de la Loi, l’action était à la fois en notre nom mais également à notre place : il s’agit d’une représentation et aussi d’une substitution.

Le Christ est notre substitut ! Il a pris notre place à chacun.

À cette terrible question du Christ Jésus à Son Dieu : « Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m’as tu abandonné ? », il n’y a pas eu de réponse.

Les seules réponses qu’Il a reçues ont été le silence d’être abandonné par Dieu, et les ténèbres du jugement de Dieu.

Nous ne pouvons pas l’expliquer ou le comprendre.

Le réformateur Luther a dit : « Dieu abandonné par Dieu, qui peut comprendre cela ? »

Si Jésus Lui-même n’a pas pu le comprendre pleinement, nous ne pouvons pas le comprendre nous non plus.

Mais nous pouvons au moins dire ceci : ce que Jésus faisait sur la Croix c’était porter nos péchés.

Le Christ Jésus était conscient et était d’accord pour aller à la Croix. Il savait ce qu’Il faisait.

Il est venu pour être la rançon pour le pardon de nos péchés et Il n’a pas été pris par surprise.

Il avait confiance en Son Père et Sa confiance L’a conduit à cet endroit précis.

Le Christ Jésus a pris tous les péchés du monde sur Ses épaules. 

C’est vraiment un tableau terrifiant. Quelle souffrance pour le Fils et pour le Père qui a du tourner le dos à Son Fils bien aimé, Le condamnant à cause du péché.

Si vous voulez savoir ce que Dieu pense vraiment du péché et ce qu’Il a l’intention de faire à son sujet du péché, regardez le Christ Jésus abandonné sur la Croix !

Voilà ce que le péché mérite : la colère et la malédiction de Dieu, la condamnation, le rejet, l’abandon par Dieu.

Il est important de venir au pied de la Croix pour se rappeler à chaque instant que la gratuité de notre salut a coûté très cher !

Nous ne pouvons qu’être reconnaissant !

Si Dieu était prêt à abandonner Son propre Fils pour le péché des autres, ne devrait Il pas nous abandonner pour nos propres péchés ? 

Nous sommes nous déjà sentis abandonné de Dieu ?

Nous pouvons avoir l’impression d’être abandonné de Dieu, nous pouvons perdre la foi et nos espoirs selon les circonstances qui peuvent être très difficiles dans cette vie. On peut parfois se demander où est passé Dieu, alors que tout s’écroule autour.

Mais le Christ sait ce que c’est que de vivre l’abandon et Il compatit avec nous. 

Le Christ n’a pas perdu la foi et n’a pas blasphémé alors qu’Il était abandonné sur la Croix.

Aucun être humain n’a jamais été sans péché comme Jésus, personne d’autre n’a donc ressenti le choc que le Christ Jésus a éprouvé dans Son innocence, lorsqu’Il a été abandonné par Son Père. 

Lorsqu’on rencontre Jésus à la Croix, on rencontre Celui qui est capable de comprendre notre douleur, qui est capable de nous aider lorsqu’on est seul et abandonné.

La fin du récit : Le dernier cri et la mort de notre S.eigneur / La déchirure du rideau du Temple / La confession du centurion romain…

« Mais Jésus, ayant poussé un grand cri, expira. Le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas. Le centenier, qui était en face de Jésus, voyant qu’il avait expiré de la sorte, dit : Assurément, cet homme était Fils de Dieu. » (v.37‬-‭39‬)

C’est un moment fort.

Le Temple terrestre a été remplacé par un temple céleste : le Corps de Jésus.

C’est le Christ qui est devenu notre médiateur qui nous donne désormais accès auprès du Père. 

Là-haut, Il intercède pour nous par Sa présence à la droite du Père.

Au verset 39, le centurion romain devant la Croix fait cette belle confession. Ce païen c’est lui qui confesse que « assurément, cet homme était Fils de Dieu ».

Sa conversion a été provoquée par le fait qu’Il avait vu le Christ Jésus expirer « de la sorte ». Ce cri a déclenché simplement la foi dans son cœur.

La croix est une prédication et même le cri d’angoisse du Christ a pu sauver quelqu’un !

Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même

Quelle que soit la manière dont on comprend ce cri central de Jésus, 

il reste mystérieusement vrai que dans la mort de Jésus comme pendant Sa vie, Dieu était en Christ, présent et actif comme nous l’affirme 2 Corinthiens 5.19 : « Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n’imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. »

Il nous faut accepter la mort du Christ comme le moyen de payer pour nos péchés.

Le cri du Christ à la Croix : un cri poussé dans la foi

Le Christ Jésus S’adressait à Son Père : ce « pourquoi ? » lancé à Dieu, même quand il jaillit de l’abandon le plus total, ne peut être un cri de désespoir. Car il est lancé à Dieu qui entend les prières !

Les Écritures ont prophétisé concernant le Christ : « Car tu ne livreras pas mon âme au séjour des morts, Tu ne permettras pas que ton bien-aimé voie la corruption. » (Psaumes‬ ‭16‬:‭10‬, repris en Actes 2.27 : « Car tu n’abandonneras pas mon âme dans le séjour des morts, Et tu ne permettras pas que ton Saint voie la corruption. » )

Derrière le pourquoi du Christ Jésus agonisant, il y a un cri de victoire, un cri de quelqu’un qui souffre mais qui a confiance.

Derrière le pourquoi du Christ Jésus agonisant, on peut mettre les pourquoi des prophètes et auteurs du Premier Testament, tels Jérémie : 

  • « Pourquoi ma souffrance est-elle continuelle ? Pourquoi ma plaie est-elle douloureuse, et ne veut-elle pas se guérir ? Serais-tu pour moi comme une source trompeuse, Comme une eau dont on n’est pas sûr ? » (Jérémie‬ ‭15.18)
  • « Pourquoi suis-je sorti du sein maternel Pour voir la souffrance et la douleur, Et pour consumer mes jours dans la honte ? » (Jérémie‬ ‭20.18)
  • « Pourquoi, ô Éternel ! Te tiens-tu éloigné ? Pourquoi te caches-tu au temps de la détresse ? » (Psaumes‬ ‭10.1)
  • « Pourquoi, ô Dieu ! Rejettes-tu pour toujours ? Pourquoi t’irrites-tu contre le troupeau de ton pâturage ? » (Psaumes‬ ‭74.1)

Ce cri de détresse du Fils unique est un cri poussé dans la foi. C’est le cri d’une mort dans la foi.

Par les Psaumes, par Sa connaissance des Écritures, le Christ pouvait avoir une totale confiance : Il savait que Sa place n’était pas dans le séjour des morts, et qu’Il ne serait pas abandonné à la « corruption », mais que le troisième jour Il ressusciterait.

Même au milieu de circonstances désastreuses, les croyants peuvent s’adresser à Dieu, en L’appellant « Mon Dieu ! »

Il faut être capable d’être honnêtes avec nous-mêmes, nos sentiments, nos émotions. Nous pouvons nous laisser imprégner par les psaumes de lamentations qui nous apprennent à exprimer nos angoisses, nos tristesses, nos pensées sombres tout en étant capables de continuer à adorer Dieu.

Dans la vie, il ne faut pas faire semblant : la tristesse et la joie constituent les deux pôles opposés du monde de nos émotions.

Gardons à l’esprit que : « […] tous ceux qui veulent vivre pieusement en Jésus-Christ seront persécutés. » (2 Timothée‬ 3.12)

Dieu écoute nos cris, mais nous devons réaliser qu’Il est souverain et qu’Il orchestre les circonstances même défavorables.

Le Christ a été abandonné afin que les croyants ne soient jamais abandonnés

Nous apprenons que le Christ a été abandonné par le Père, afin que les croyants ne soient jamais abandonnés par Lui, que ce soit pendant leur vie ou après leur mort.

Le Christ S’est écrié « Mon Dieu ! Mon Dieu pourquoi M’as-Tu abandonné ? » afin que pour l’éternité vous n’ayez pas à le faire. 

Sachons que dans nos moments les plus profonds de désespoir, Dieu ne nous abandonnera jamais !

Si nous marchons avec Lui, nous pouvons Lui faire confiance dans les ténèbres, nous pouvons nous accrocher à Lui dans l’obéissance parce que comme au Calvaire Il contrôle la situation et mènera à bien Ses desseins.

La Bible dit : « Qui nous séparera de l’amour de Christ ? Sera-ce la tribulation, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l’épée ? selon qu’il est écrit : C’est à cause de toi qu’on nous met à mort tout le jour, Qu’on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie. Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. » (Romains‬ ‭8.35-39)

Ailleurs, nous lisons : « Ne vous livrez pas à l’amour de l’argent; contentez-vous de ce que vous avez; car Dieu lui-même a dit : Je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point. C’est donc avec assurance que nous pouvons dire : Le Seigneur est mon aide, je ne craindrai rien; Que peut me faire un homme ? » ‭‭(Hébreux‬ ‭13‬.5-6)

Le Christ promet à tous ceux qui viennent à Lui qu’ils ne seront jamais abandonnés par Dieu.

Il dit : « Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. » (Jean‬ ‭14.1-3)

Le Christ Jésus nous dit qu’Il a tout pris sur Lui pour que nous ne soyons plus tristes ni orphelins : « Je ne vous laisserai pas orphelins… » (Jean‬ ‭14.18)

Conclusion

Père céleste merci que le Seigneur Jesus soit resté sur la Croix pour me sauver.

Il a subi les coups des soldats, enduré les moqueries des chefs religieux, porté la couronne d’épines, et S’est laissé crucifier par des hommes pécheurs à cause de son engagement passionné envers la volonté de Son Père et de Son amour pour nous.

Le Christ est notre substitut et Il est suffisant ! À Lui soit la gloire !

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