LÉVITIQUE 1-5 CHRIST LE PARFAIT SACRIFICE

Prédication Culte du 1er Mai 2022 par le Pasteur Claude Missidimbazi

« Tous les habitants de la terre, ceux dont le nom n’a pas été inscrit sur le livre de la vie de l’agneau immolé depuis la fondation du monde, se prosterneront devant elle. »
‭‭Apocalypse de Jean‬ ‭13:8‬ ‭Le livre de l’Apocalypse nous parle du livre de la vie de l’Agneau immolé depuis la fondation du monde, qui contient le nom des élus, fidèles au Seigneur.

Introduction

Au cœur de l’Évangile d’aujourd’hui il y a la bonne nouvelle de l’œuvre achevée par le Christ Jésus une fois pour toutes.
Nous croyons que Jésus est le parfait sacrifice qui s’est offert une fois pour toutes et qui apporte le Salut.
Pour effacer le péché, le sacrifice de Jésus est le seul sacrifice parfait, pleinement suffisant, définitif et éternel, sur la base duquel Dieu peut justifier le pécheur.
Dans le Christ tout est accompli, Il est le Fils qui donne Sa vie, par amour pour le Père et les hommes, une fois pour toutes et pour toujours inaugurant les temps de la fin. Cela est est écrit dans Hébreux 1.2 : « Dieu nous a parlé par le Fils en ces jours qui sont les derniers. Il l’a établi héritier de toutes choses, et c’est par lui qu’il a fait les mondes. »

Le Lévitique s’ouvre par l’exposé de ce vaste système sacrificiel, appelé « Torah des sacrifices ».
Nous avons vu auparavant les différents sacrifices

Les sacrifices aux parfums agréables des chapitres 1 à 3 :
- L’holocauste entièrement brûlé, entièrement attribué à Dieu
- L’offrande de céréales végétales, un don pour Dieu
- Le sacrifice de paix, de communion
Et aussi aux chapitres 4 et 5
- Le sacrifice pour obtenir le pardon
- Et enfin le sacrifice de réparation au chapitre 5

A travers ces prédications, nous avons pu méditer un peu plus profondément sur la personne merveilleuse du Christ Jésus.

Ces prescriptions sont obsolètes pour nous qui vivons de l’autre côté de La Croix, car le Christ est venu, Il est mort, Il est ressuscité, Il est monté dans la gloire et bientôt Il reviendra.
Nous devons pourtant garder à l’esprit que le sacrifice est lié à Dieu et à une double promesse ; les sacrifices ont pour fonction fondamentale de répondre à la présence de Dieu parmi Son peuple et de pérenniser cette présence :

Parce que Dieu demeure parmi Son peuple, celui-ci doit entretenir son hôte divin en Lui offrent des sacrifices.
Parce que jour après jour, le peuple offre des sacrifices à l’Éternel, alors Dieu demeure parmi Son peuple.

Chaque fois que le peuple offre un sacrifice, Dieu vient. Le sacrifice ne consiste donc pas d’abord à faire monter quelque chose au Ciel, mais à faire descendre Dieu sur terre, auprès de l’offrant. Et Dieu vient uniquement pour bénir.
S’adressant à Moïse, désormais institué comme Son intermédiaire, Dieu lui transmet les instructions suivantes : « Le SEIGNEUR dit à Moïse : Ainsi parleras-tu aux fils d’Israël : Vous avez vu vous-mêmes que c’est du haut des cieux que je vous ai parlé. Vous ne me traiterez pas comme un dieu en argent ni comme un dieu en or — vous ne vous en fabriquerez pas. Tu me feras un autel de terre pour y sacrifier tes holocaustes et tes sacrifices de paix, ton petit et ton gros bétail. En tout lieu où je ferai rappeler mon nom, je viendrai vers toi et je te bénirai. » (Exode 20.22-24)

Ces sacrifices sont des « types », des images qui annoncent le Christ. Ces sacrifices n’ont pas de sens en dehors du Christ qui est l’objet de leur symbolique. Les sacrifices prêchent l’évangile en image.
Le Christ est la clef de toute la Bible, la clef qui permet de la comprendre, le personnage central et le thème unificateur de toute la Bible. Le Seigneur l’a fait comprendre Lui-même aux disciples sur la route d’Emmaüs : « commençant par Moïse et par tous les prophètes, il leur expliqua dans toutes les Écritures ce qui le concernait. » ‭‭(Luc‬ ‭24:27‬)

Christ : notre grand prêtre

La confession de foi de Westminster mentionne les trois offices du Christ Jésus :

Il est prophète. En tant que prophète, Il nous révèle Sa volonté via Sa Parole.
Il est prêtre. En tant que prêtre, Il remplit l’office de prêtre parce qu’Il S’est offert une fois pour toutes Lui-même en sacrifice pour satisfaire une fois pour toutes la justice divine et nous réconcilier avec le Père. De plus, Il intercède sans cesse pour nous.
Il est roi. En tant que roi, nous devons nous soumettre à Lui.

C’est par rapport à Sa fonction de prêtre que nous voyons ce rapport si important avec les sacrifices du Premier Testament.
Il est le grand prêtre par excellence, le souverain sacrificateur. Toute l’épître aux Hébreux traite de cette prêtrise du Christ. Ainsi nous lisons dans Hébreux 2.17 : « Aussi devait-il devenir, en tout, semblable à ses frères, afin d’être un souverain sacrificateur miséricordieux et fidèle dans le service de Dieu, pour faire l’expiation des péchés du peuple. »
‭‭Il est important pour nous de faire ce lien entre ces sacrifices et le Christ Jésus qui est venu accomplir la Loi.

Les sacrifices avaient donc un schéma particulier :

le fidèle se présente devant le prêtre avec un animal à sacrifier
Le fidèle impose ses mains sur la victime, comme identification
L’animal est ensuite tué et brûlé sur l’autel
Selon le sacrifice, les restes de l’animal revenait aux prêtres qui officiaient dans le Tabernacle.

Nous avons nous aussi un grand prêtre : le Christ.
Le prêtre est un homme choisi pour représenter le peuple, et agir à sa place dans le culte rendu à Dieu. C’est un médiateur. C’est Dieu Lui-même qui choisit Le grand prêtre, le souverain sacrificateur et c’est Lui qui le bénit, le consacre par une onction spéciale.
En Christ cette fonction médiatrice est remplie de deux manières :

D’abord lorsque le Christ S’offre en sacrifice pour le péché. Le Christ Jésus est Lui même le sacrifice offert pour le péché. Sa prêtrise revêt donc un caractère supérieur : elle est unique et ce que le Christ fait est unique.
Ensuite, le Christ intercède pour nous auprès du Père, Il est dans la gloire.

Christ : l’Agneau parfait

Auparavant, les sacrifices offerts par les prêtres étaient imparfaits, même si ils étaient utiles pour amener le pécheur dans la présence de Dieu.
Face à la prêtrise humaine déficiente, le sacrifice de Jésus est celui d’un homme parfait, qui n’avait nul besoin d’expiation pour Lui-même.
Ainsi nous lisons dans Hébreux 7.26-27 : « C’est bien un tel souverain sacrificateur qui nous convenait: saint, innocent, immaculé, séparé des pécheurs, et plus élevé que les cieux, qui n’a pas besoin, comme les souverains sacrificateurs, d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, et ensuite pour ceux du peuple. Cela, il l’a fait une fois pour toutes, en s’offrant lui-même. »

Les Écritures insistent sur le fait que le Christ, qui est sans péché, est l’Agneau de Dieu parfait, sans taches, comme nous pouvons le lire dans 1 Pierre 18-19 : « Vous savez en effet que ce n’est point par des choses périssables – argent ou or – que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre, héritée de vos pères, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache… »

Cette rédemption est une réalité que nous obtient le Seigneur, un rachat du marché du péché, c’est une rançon payée par le sang précieux d’un agneau parfait.
Nous lisons dans Éphésiens 5.1-2 : « Soyez donc les imitateurs de Dieu, comme des enfants bien-aimés; et marchez dans l’amour, de même que le Christ nous a aimés et s’est livré lui-même à Dieu « pour nous en offrande et en sacrifice comme un parfum de bonne odeur ». »
‭‭

Christ : le sacrifice parfait

Puisque le Christ est Lui même la victime parfaite, le sacrifice accompli par Jésus était donc en Lui-même également parfait. Le Christ pouvait payer le prix du péché et l’effacer, ce dont les animaux immolés en Israël étaient incapables : les sacrifices de l’ancienne alliance n’étaient que l’ombre des choses à venir.
Lisons ce texte important de l’épître aux Hébreux 9.11-14 : « Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir ; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait qui n’est pas construit par la main de l’homme, c’est-à-dire qui n’est pas de cette création; et il est entré une fois pour toutes dans le sanctuaire, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang. C’est ainsi qu’il (nous) a obtenu une rédemption éternelle. Car si le sang des boucs et des taureaux, et la cendre d’une génisse qu’on répand sur ceux qui sont souillés, les sanctifient de manière à purifier la chair, combien plus le sang du Christ – qui par l’Esprit éternel s’est offert lui-même sans tache à Dieu – purifiera-t-il notre conscience des œuvres mortes, pour que nous servions le Dieu vivant ! »

Ces versets fournissent la preuve de l’éternelle rédemption et soulignent la vertu de ce sang qui est capable de purifier les consciences !
Il y a ce contraste qui souligne combien le sang du Christ a une vertu supérieure :

Le sang des boucs et des taureaux qui étaient forcés à mourir s’oppose au sang du Christ, le Fils de l’homme et Fils de Dieu, qui S’est offert volontairement à la mort.
Les bêtes sacrifiées devaient être intègres sans aucun défaut corporelle, mais le Christ sans péché était la sainteté même !

Quelqu’un a dit : « Aucune victime n’a jamais eu cette perfection, et ne pouvait donc offerte avec plus de fruits aux exigences liturgiques de pureté rituelle. »

Le sang du Christ est seul efficace, Il est puissant pour nettoyer, effacer tout ce qui peut nous empêcher de communiquer avec Dieu. Il est seul capable de laver nos consciences des œuvres mortes, quelque soit la noirceur du crime.
Seul le sang de Jésus Christ donne accès à Dieu dans ce monde et dans le monde à venir.
Le sang du Christ c’est Son œuvre à La Croix et les conséquences qui en découlent. C’est une source intarissable pour nous purifier et nous pardonner, il nous rend acceptable aux yeux de Dieu et nous fait entrer dans l’intimité de Dieu.

Le sacrifice du Christ est définitif

Contrairement aux sacrifices de l’Ancienne Alliance qu’il fallait répéter journellement, le sacrifice de Jésus est définitif et éternel.
Le Christ, en grand prêtre, intercède pour nous, assis à la droite du Père : « Mais lui, après avoir présenté un seul sacrifice pour les péchés, s’est assis à perpétuité à la droite de Dieu, et il attend désormais que ses ennemis deviennent son marchepied. Car par une seule offrande, il a rendu parfaits à perpétuité ceux qui sont sanctifiés. » (Hébreux 10.12-14)
« Il était donc nécessaire que, d’une part, les représentations des réalités célestes soient purifiées de la sorte et que d’autre part les réalités célestes elles-mêmes le soient par de meilleurs sacrifices. Car Christ n’est pas entré dans un sanctuaire fait par la main de l’homme, imitation du véritable, mais dans le ciel même, afin de se présenter maintenant pour nous devant la face de Dieu. Il n’y est pas entré afin de s’offrir plusieurs fois, comme le souverain sacrificateur entre chaque année dans le sanctuaire avec du sang étranger; car alors, le Christ aurait dû souffrir plusieurs fois depuis la fondation du monde. Mais maintenant, à la fin des siècles, il a paru une seule fois pour abolir le péché par son sacrifice. Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, – après quoi vient le jugement – de même aussi le Christ, qui s’est offert une seule fois pour porter les péchés d’un grand nombre, apparaîtra une seconde fois, sans (qu’il soit question du) péché, pour ceux qui l’attendent en vue de leur salut. »(‭‭Hébreux 9.23-28)
Le sacrifice de Jésus est éternel, suffisant et définitif : « une fois pour toutes » :

Hébreux 7.27 : « [Le Christ] n’a pas besoin, comme les souverains sacrificateurs, d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, et ensuite pour ceux du peuple. Cela, il l’a fait une fois pour toutes, en s’offrant lui-même.»
Hébreux 10.10 : « Et c’est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus-Christ, une fois pour toutes. »
Romains 6.10 : « Car il est mort, et c’est pour le péché qu’il est mort une fois pour toutes, et maintenant qu’il vit, il vit pour Dieu. »
1 Pierre 3.18 : « En effet, Christ aussi est mort une seule fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de vous amener à Dieu. Mis à mort selon la chair, il a été rendu vivant selon l’Esprit. »
Hébreux 9.12 : « et il est entré une fois pour toutes dans le sanctuaire, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang. C’est ainsi qu’il (nous) a obtenu une rédemption éternelle.»

Nous ne pouvons pas nous approcher du Seigneur avec nos prétentions, avec nos bonnes œuvres pour nous faire accepter, pour obtenir des faveurs. Ce n’est que par le sang de l’Agneau que nous pouvons nous approcher de Dieu. C’est Lui notre médiateur permanent. Les bonnes œuvres accompagnent notre marche dans la consécration, elles ne nous précèdent pas.
Il n’y a plus rien à ajouter au sacrifice parfait du Christ Jésus.

Un sacrifice nécessaire et annoncé depuis l’origine

Ce sacrifice était nécessaire : sans effusion de sang il ne pouvait pas y avoir de pardon de nos péchés face à Dieu. D’un côté nous lisons que « Le péché conduit à la mort », « l’âme qui pêche est celle qui mourra », mais de l’autre côté il y a le message de la grâce : par grâce Dieu a accepté une victime innocente offerte à la place du pécheur. Le vrai substitut : le Christ Jésus !

La mort de l’Agneau était annoncée, prévue depuis la fondation du monde, faisant partie du dessein éternel de Dieu. Apocalypse 13.8 parle de ce livre de l’Agneau immolé. Le Christ a toujours eu à porter cette qualité et accomplir cette fonction.
Ainsi les prophètes l’avaient annoncé : « Mais c’est pour nos péchés qu’il a été percé, c’est pour nos fautes qu’il a été brisé. Le châtiment qui nous donne la paix est retombé sur lui et c’est par ses blessures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants, pareils à des brebis, chacun de nous allait par son propre chemin : l’Éternel a fait retomber sur lui les fautes de nous tous. » (Ésaïe 53.5-6)

La mort du Christ occupe une place prééminente dans le Nouveau Testament.
Sa mort est le but principal de l’incarnation : le Christ est venu d’abord pour mourir.Il n’est pas venu principalement pour nous donner un exemple, ou pour nous guérir, ou pour nous enseigner Sa doctrine, mais Il est venu pour mourir.
Sa mort n’était pas un accident, mais la réalisation d’un but précis. L’incarnation n’était pas une fin en soi, mais un moyen pour attendre un but : la rédemption !
Oui, nous prêchons un messie crucifié, comme le dit l’apôtre Paul : « nous, nous prêchons Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les païens, mais pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs, Christ, puissance de Dieu et sagesse de Dieu. » (1 Corinthiens‬ ‭1:23-24‬)
L’Évangile est la Bonne Nouvelle, et le cœur de l’Évangile est la mort du Christ Jésus !
Le Christ est mort mais Il est aussi ressuscité, accomplissant ainsi ce qui avait été annoncé dans le livre d’Ésaïe : « Il a plu l’Éternel de le briser par la souffrance; Après s’être livré en sacrifice de culpabilité, Il verra une descendance Et prolongera ses jours, Et la volonté de l’Éternel s’effectuera par lui. » (Ésaïe‬ ‭53:10‬)

Rappelons nous aussi que la mort du Christ est une réparation : Il a réparé ce qui était détruit, cassé et Il nous a reconnecté, réconcilié avec Dieu.
La mort du Christ est aussi présentée comme le paiement d’une rançon, un prix à payer pour la libération d’un prisonnier : « C’est ainsi que le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour beaucoup. » (Matthieu‬ ‭20.28‬)

Le sacrifice du Christ : expression de l’amour de Dieu

Le sacrifice de Jésus est l’expression de l’amour de Dieu :

« Mes petits enfants, je vous écris ceci, afin que vous ne péchiez pas. Et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste. Il est lui-même victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. » (1 Jean 2.1-2)
« Voici comment l’amour de Dieu a été manifesté envers nous: Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde afin que nous vivions par lui. Et cet amour consiste non pas en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu’il nous a aimés et qu’il a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés. » (1 Jean 4.9-10)

Le Christ vient nous soutenir, le Juste vient nous aider comme avocat, et Il est Lui-même victime expiatoire pour nos péchés !Il est notre défenseur, comme victime, Il est l’intercession même dans la présence du Père, sans besoin de plaidoyer.
Christ fait tout pour que nous soyons avec Lui. C’est par amour qu’Il a fait tout cette œuvre.
L’expiation du Christ est efficace Il n’y a pas de limites à l’amour de Dieu, au pardon de Dieu, quelque soit la noirceur de nos péchés. Le Christ ne nous rejettera jamais. Le but de la mission du Christ n’est pas de venir nous accuser et nous condamner mais de nous donner la vie par Lui-même.

Résumé

Voilà ce que nous devons retenir :

Pour effacer le péché, le sacrifice de Jésus est le seul sacrifice parfait, pleinement suffisant, définitif et éternel, sur la base duquel D.ieu peut justifier le pécheur.
Le sacrifice de Jésus est celui d’un homme parfait.
Puisqu’Il est la victime parfaite, le sacrifice accompli par Jésus est en Lui-même parfait.
Ce sacrifice est suffisant et définitif ;
Ce sacrifice était nécessaire ;
Ce sacrifice est l’expression de l’amour de Dieu.

Adorons ce merveilleux Sauveur, car nous avons tout pleinement en Lui !