QUI NOUS FERA VOIR LE VRAI BONHEUR ?

QUI NOUS FERA VOIR LE VRAI BONHEUR ?

Prédication du 02 Janvier 2022 par le Pasteur Claude Missidimbazi

« Du chef de chœur. Avec instruments à cordes. Psaume. De David. Quand je crie, réponds-moi, Dieu de ma justice ! Dans la détresse, tu me mets au large. Fais-moi grâce, entends ma prière ! Hommes, jusqu’à quand ma gloire sera-t-elle changée en confusion ? Jusqu’à quand aimerez-vous ce qui est creux, rechercherez-vous le mensonge ? Pause. Sachez que le Seigneur distingue celui qui lui est fidèle; quand je l’invoque, le Seigneur entend. Agitez-vous, mais ne péchez pas; parlez en votre cœur, sur votre lit, puis taisez-vous. Pause. Offrez des sacrifices de justice et mettez votre confiance dans le Seigneur. Beaucoup disent : Qui nous fera voir le bonheur ? Fais lever sur nous la lumière de ta face, Seigneur ! Tu mets dans mon cœur plus de joie qu’au temps où abondent leur froment et leur vin. Aussitôt couché, je m’endors en paix, car toi seul, Seigneur, tu me fais habiter en sécurité. »
‭‭Psaumes‬ ‭4:1-9‬ ‭

Introduction

En ce premier dimanche de l’année, point de bonnes résolutions oubliées dès la semaine prochaine, mais une prière brève qui, nous l’espérons, nous sera utile tout au long de cette année.
Le psaume 4 parle de la quête du bonheur, que tellement d’êtres humains poursuivent passionnément.Le psalmiste pose la question au verset 7 : « Qui nous fera voir le bonheur ? »

Ce psaume commence avec un cri, mais se termine avec la paix et le contentement: « En paix, je me couche, aussitôt je m’endors, Toi seul, Seigneur, tu m’établis en sûreté. » (v.9)
Dans ce psaume le priant s’adresse tout autant, sinon davantage, aux humains qu’à Dieu. Le psalmiste passe de l’angoisse à la paix.
Tout le monde cherche son bonheur, et fait de son mieux pour le trouver, quitte à prendre des risques parfois insensés.

La question nous est posée : sommes nous heureux, en tant que chrétien ?
En toute honnêteté, beaucoup de chrétiens, pourtant sincères, ne sont pas totalement satisfaits de Dieu et de Ses perfections.
En étudiant la vie du Christ Jésus, Lui qui S’est dépouillé, qui n’avait rien comme possessions matérielles, nous voyons qu’Il était épanoui, qu’Il était pleinement heureux dans Son Père. Il ne faisait pas reposer sa joie, son plaisir sur les gens ou sur les choses. Le Christ avait trouvé que : l’unique nécessaire dans la vie c’est Dieu, et que lorsqu’on a trouvé Dieu et qu’on vit une relation avec Lui, on est pleinement satisfait.

Ce psaume commence avec un cri

« Quand je crie, réponds-moi, Dieu de ma justice ! Dans la détresse, tu me mets au large. Fais-moi grâce, entends ma prière ! »
‭‭(Psaumes‬ ‭4:2‬)
Le psaume s’ouvre avec un cri qui est adressé à Dieu. Quelqu’un a dit : « Un psaume est un cri avant d’être un écrit. En lisant le psaume, il faut retrouver le cri sous l’écrit. »
Ici le psalmiste crie sa souffrance.
Le psalmiste utilise 4 impératifs pour s’adresser à Dieu dans sa souffrance, afin que le Dieu de justice et de pitié ouvre l’oreille (au verset 2) : 

  • Réponds moi !
  • Mets au large (sauve-moi) !
  • Fais-moi grâces !
  • Entends ma prière !

Nous ne savons pas quelle détresse, quelle épreuve subit exactement ce croyant, mais il est clairement en proie à l’adversité et il semble être comme asphyxié par l’angoisse.
Il est donc d’abord question d’un cri. Lorsque nous souffrons, il faut savoir crier et dire à Dieu sa détresse, en toute honnêteté.
Dieu entend la prière : « dans la détresse, Tu me mets au large. » (v.2). Le psalmiste demande à Dieu d’intervenir. On pense que le contexte de rédaction de ce psaume est l’épisode de la révolte d’Absalom contre David. Le fils de David veut sa mort (2 Samuel 15-19), et David s’adresse à Dieu, il Lui crie sa peine et Lui demande de l’écouter.

La bénédiction d’être sauvé 

Le priant a appris que le Seigneur est Celui qui sauve et qui délivre. C’est la première bénédiction que le priant reçoit de la part du Seigneur : être sauvé et épargné, c’est quelque chose que Dieu fait tout le temps.
Il est question du Salut de Dieu. Nous avons là les images du Salut qui s’opposent à celles du mal : 

  • Au lieu d’enfermement, les images du Salut parlent de la liberté 
  • Au lieu d’écrasement, elles parlent de légèreté
  • Au lieu de faiblesses, de déséquilibres, elles parlent de solidité 
  • Au lieu de s’enfoncer, de glisser, de tomber, elle parle d’être affermi, de sortes que l’on peut marcher d’un pas assuré 
  • Là où on était liés, pris dans des filets, des pièces, on bondit de liberté 

Être mis au large c’est être sauvé, c’est être libéré, c’est être mis à l’abri du danger, c’est voir sa vie conservée, c’est être tiré d’affaire, c’est être guéri.
Le bonheur c’est lorsque Dieu intervient et qu’Il Se montre comme le Dieu vivant et vrai.Il nous faut vivre la réalité de Dieu : Il n’est pas mort, Il n’est pas sourd. Il entend et Il vient à notre secours lorsque nous crions à Lui.

Dans ce psaume très court il y a une réflexion de sagesse. Lorsque le psalmiste s’adresse à Dieu, sa prière est brève. C’est une supplication assez courte : « Quand je crie, réponds-moi, Dieu ma justice ! Toi qui me libères dans la détresse, pitié pour moi ! Écoute ma prière ! ». Le priant n’a pas besoin d’une multitude de mots. Faisons de même et quelque soit l’adversité, lorsque tout va mal, quelque soit le domaine, demandons à Dieu d’intervenir et de nous libérer.
L’épreuve, les circonstances contraires sont là pour permettre à Dieu d’intervenir. Ce sont des occasions pour le Seigneur de démontrer qu’Il est Celui qui entend et qui intervient, qu’Il est Celui qui protège, qui libère.

La bénédiction de l’encouragement 

Le Seigneur distingue celui qui Lui est fidèle : « Sachez que le Seigneur distingue celui qui lui est fidèle ; quand je l’invoque, le Seigneur entend. »(Psaumes‬ ‭4:4‬)‬‬
Dieu connaît Ses enfants : il y a une alliance, un pacte, un contrat (´berit’ en hébreu) entre le croyant et Dieu. C’est pour cela que nous pouvons être sûr que lorsque nous L’invoquons, le Seigneur entend. Dieu nous donne la bénédiction de l’encouragement.
Le mot traduit ici par « fidèle » (‘hasid’ en hébreu) est riche de sens et implique bonté miséricorde, tendresse, fidélité…Ce psaume est la prière d’un fidèle, un homme pieux, religieux d’Israël qui se sait aimé de Dieu, parce qu’il sait qu’il y a une alliance et que le Seigneur S’est engagé à bénir Son peuple.
Pour nous aujourd’hui, une Nouvelle Alliance a été contractée en Jésus Christ, par lequel nous sommes bénis de toutes bénédictions spirituelles ! Grâce au sacrifice de Jésus, cette Nouvelle Alliance est établie. 

Ce psaume est la prière d’un homme pieux dont la grande angoisse est d’être littéralement étouffé par le paganisme qui l’entoure. Aujourd’hui, ce paganisme peut être assimilé à ce matérialisme ambiant. Il est bien attirant, même pour un fidèle. On peut ne pas être satisfait. On peut penser que le bonheur c’est d’avoir plus de choses.
Le psalmiste nous montre que le bonheur c’est quand Dieu agit, c’est quand nous sommes conscients qu’Il nous aime et qu’Il a un contrat de bénédiction et de vie avec les siens.
La vie sans Dieu est du néant, une course au mensonge, une vie trompeuse. Le vrai bonheur n’est pas d’abord dans l’abondance des biens matériels, mais il est dans l’intimité de Dieu. Le priant le souligne aux versets 7 et 8 : « Sur nous, Seigneur, que s’illumine ton visage ! Tu mets en mon cœur plus de joie que lorsqu’ils sont gavés de vin et de blé… ».

D’où vient notre certitude que Dieu nous entend lorsque nous L’invoquons ? La Bible est très claire : « Puisque nous avons un grand souverain sacrificateur qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, tenons fermement la confession de notre foi. Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur incapable de compatir à nos faiblesses ; mais il a été tenté comme nous à tous égards, sans commettre de péché. Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, en vue d’un secours opportun. »‭‭ (Hébreux‬ ‭4:14-16‬) Oui le Père peut écouter un pécheur comme moi, non pas à cause de ma piété, mais à cause de Sa compassion et de l’œuvre du Christ Jésus qui nous sauve. Il peut m’entendre parce que j’ai un avocat dans les Cieux, qui plaide et intercède pour moi. Alors lorsque nous nous approprions le Christ par la foi, que nous avons foi en Son œuvre, nous pouvons nous approcher du trône de Dieu pour y trouver le secours au bon moment.

La bénédiction de la capacité d’aller plus loin

Lorsqu’on a vécu l’intervention, l’action du Seigneur, on est alors prêt à témoigner aux autres. C’est ce que le psalmiste fait en devenant zélateur (défenseur zélé de la cause du Seigneur) auprès de ceux qui se conduisent mal, et maître de sagesse au verset 3 : « Fils des hommes, jusqu’où irez-vous dans l’insulte à ma gloire, l’amour du néant et la course au mensonge ? » (Il se peut que l’expression « ma gloire » se rapporte à un titre divin).
Le psalmiste insiste sur le fait que Dieu distingue celui qui Lui est fidèle, parce que en face, il y a des infidèles qui cherchent à être heureux grâce à leurs idoles. Ils s’opposent ainsi au vrai Dieu : ils s’exposent au vide et au mensonge, à la tromperie, car ces idoles empêchent de voir la lumière du Seigneur.Le croyant fidèle lui, cherche Dieu et il trouve sa joie et son bonheur dans le Seigneur.

Le psalmiste s’exprime en maître de sagesse et donne les conseils suivants aux versets 5 et 6 : « Agitez-vous, mais ne péchez pas ; parlez en votre cœur, sur votre lit, puis taisez-vous. Offrez des sacrifices de justice et mettez votre confiance dans le Seigneur. »
‭‭Lorsque tout va mal, on a tendance à s’agiter. C’est normal de paniquer dans les situations compliquées de la vie, mais nous ne devons pas pécher contre le Seigneur. C’est un bon conseil d’entrer en soi-même, et réfléchir dans le calme, méditer et parler lorsque nous sommes tout seul.
Devant nous, il y aura des coups durs mais nous devons crier à Dieu. Il y aura des circonstances compliquées, voire invraisemblables mais Dieu entend la prière Dieu s’est engagé à nous bénir et Il nous bénira jusqu’à la fin. 
Peu importe les circonstances, le fidèle croyant qui continue à prier, à faire silence et à faire confiance en Dieu, trouve le vrai bonheur sous le regard de Dieu.
Le vrai bonheur ne peut nous venir que dans l’intimité de Dieu.
Dieu nous donne la bénédiction de la capacité d’aller plus loin !
Le priant a choisi de s’ouvrir à Dieu dans la confiance. Il a la certitude que c’est un ticket gagnant, parce que Dieu est fidèle et respecte cette confiance qu’on place en Lui.
Le Seigneur aime Ses enfants et veut nous apprendre à Lui faire confiance même quand tout semble aller de travers : c’est une leçon cruciale.

La bénédiction de l’illumination

« Beaucoup disent: Qui nous fera voir le bonheur ? » (Psaumes‬ ‭4:7‬)
Alors que cette question est posée, le psalmiste répond par cette demande de la plus belle des bénédictions : « Fais lever sur nous la lumière de ta face, Seigneur ! » (Psaumes‬ ‭4:7‬)
Dieu seul peut combler le cœur de l’homme qui est toujours rempli d’insatisfactions.
C’est quand la lumière de la face du Seigneur nous illumine que nous connaissons la vraie joie : « Tu mets dans mon cœur plus de joie qu’au temps où abondent leur froment et leur vin. »‭‭(Psaumes‬ ‭4:8‬)
Dieu nous donne la bénédiction du contentement, de l’illumination.
Le mot traduit par « bonheur » (‘Tov’ en hébreu) dans ce psaume signifie bon et fécond. Quand Dieu nous bénit on est profondément satisfait. La totale satisfaction ne peut être qu’en Dieu seul. Tant qu’on aura pas goûté à cette plénitude de vie dans le Christ Jésus, on sera toujours insatisfaits. C’est une erreur de chercher son bonheur dans des personnes, des choses, des ambitions, des projets terrestres…Au lieu de poursuivre ces éléments terrestres, changeons de schéma de pensée et cherchons Dieu : Il se laissera trouver et Son visage s’illuminera pour éclairer notre vie de Sa présence.
Au verset 9, nous lisons : « La sécurité de mon repos vient de toi seul. Tu as choisi de me faire habiter dans la paix. Tu m’accueilles en sécurité chez toi. »
Prions : « Père, lorsque je rencontre des situations difficiles et douloureuses, jamais je ne veux qu’elles me conduisent loin de toi, loin de la prière. Apprends moi à tout miser sur Toi et à Te faire confiance. »

Le psalmiste fait référence à la (triple) bénédiction d’Aaron, que nous lisons dans Nombres 6.24-27 : « Que l’Éternel te bénisse et te garde ! Que l’Éternel fasse briller sa face sur toi et t’accorde sa grâce ! Que l’Éternel lève sa face vers toi et te donne la paix ! C’est ainsi qu’ils mettront mon nom sur les Israélites, et je les bénirai.»
‭‭La bénédiction de Dieu est riche et féconde. Quand Dieu bénit, nous ne manquons de rien. Nous recevrons une totale satisfaction intérieure, une joie intérieure, une paix intérieure. C’est dans l’être intérieur, le cœur que le Seigneur déverse tout cela, comme le dit le psalmiste : « Tu mets dans mon cœur plus de joie… ». Le cœur est le siège de nos pensées, de notre intelligence, de nos émotions.
Le cœur humain est envieux, on convoite les bonnes choses qu’on voit autour de nous, chez les autres. Mais quand le cœur est rempli de la joie que Dieu déverse (« oui, tu as déposé de la joie dans mon cœur »), alors il n’y a plus de place pour être envieux. C’est parce que nous ne sommes pas remplis jusqu’à déborder que nous envions.
Le Christ est allé jusqu’au bout de l’incarnation, de condition très humble, sans possessions. Si la vraie vie et le vrai bonheur est ce que Jésus est et ce que Jésus a fait, nous ne pouvons que nous poser des questions de fond : le Christ n’a pas poursuivi les richesses, pourquoi voulons-nous être riches ? Il n’a pas cherché le bonheur dans le corps humain, pourquoi courons-nous après les bénédictions physiques et matérielles ? Le Christ parle d’un monde nouveau, de la joie de l’intimité avec le Père (voir Jean 17). Il parle de ce bonheur là !Il y avait de la joie dans le cœur du Christ, Il était profondément heureux. 
Il y a du plaisir, de la jouissance dans le fait de méditer la Parole de Dieu, de servir Dieu, d’être dans Son intime présence.

Le contentement que le psalmiste ressentait en se confiant en l’Éternel était plus grand que la joie des fêtes de la moisson. Même dans la détresse et privé des effets tangibles des bienfaits de Dieu, le psalmiste jouissait de la paix et de la sécurité en Son Dieu. « Je m’endors en paix ! »
La vraie joie et la paix ne dépendent pas des circonstances mais de la protection et des ressources que Dieu accorde.

Qui nous fera donc voir le bonheur ? 

Répondons à cette question : « Qui nous fera le bonheur ? »
De tout temps, l’homme a été avide de bonheur. Dans notre société de consommation, surtout en occident, « on est bien payés, bien nourris, bien instruits, bien chauffés, bien logés… » et pourtant l’homme moderne continue à demander qui nous fera voir le bonheur ?
Le psalmiste ose affirmer qu’il est plus heureux que ceux qui regorgent de biens matériels : « Tu as mis dans mon coeur plus de joie qu’aux jours où leur blé et leur vin débordent » (v.8)
Est-ce que nous ne nous sommes pas trompés de bonheur ? Le Christ Jésus nous a bien mis en garde. Les biens terrestres sont nécessaires, mais le Christ a stigmatisé cette recherche effrénée des richesses, c’est une course au mensonge, l’amour du néant. Il est facile aujourd’hui d’être pris dans l’engrenage des mensonges des publicitaires et on court après la vanité et le néant.
Soyons honnêtes avec nous mêmes : qu’est-ce qui nous donne le plus de soucis ? Est-ce le fait de manquer de foi, d’amour, de sainteté ? Ou le manque d’argent ? Ou sont-ce d’autres soucis matériels ?
Le Christ Jésus a appris que l’homme ne vivra pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. Le Christ Jésus a appris que Son bonheur c’est de faire ce que le Père Lui demande, que Sa nourriture est de faire la volonté de Son Père.
Le psalmiste nous dit que : « Aussitôt couché, je m’endors en paix, car toi seul, Seigneur, tu me fais habiter en sécurité. » (v.9) Ce psaume est une belle prière du soir : Le croyant n’a pas besoin de somnifère, ce psaume est un bon remède aux pensées qui peuvent nous agiter. Le Christ pouvait dormir en paix au milieu de la tempête. Il est crucial pour nous de comprendre que ce n’est pas les circonstances extérieures mais c’est ce que nous avons en nous, la joie, la paix que Dieu met dans nos cœurs qui importent vraiment.

Conclusion

Oui, disons à Dieu qu’Il est notre unique nécessaire, et plaçons notre confiance en Lui. 
Nous ne voulons plus envier le bonheur apparent des autres, l’abondance matérielle que d’autres peuvent avoir. Les richesses ne font pas tout : c’est la lumière de la face de Dieu qui nous est vraiment nécessaire. Seul le Seigneur nous fait dormir en paix et habiter en sécurité ! Ce n’est pas donné à tout le monde !
Dieu est proche et Il veut nous donner Sa plénitude : Lui seul nous entend, nous met à part et nous donne la joie.
Il y aura des difficultés et des situations qui semblent inextricables dans nos vies, mais gardons confiance en Dieu et demandons Lui : « Fais lever sur nous la lumière de Ta face, montre Toi ! ».

Le prophète Jérémie a déclaré : « Tes paroles se sont trouvées devant moi, Et je les ai dévorées, Tes paroles ont fait l’agrément et la joie de mon cœur ; Car ton nom est invoqué sur moi, ,Éternel, Dieu des armées ! »(Jérémie 15.16).

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