Prédication Culte du 3 août 2025 par le Pasteur Claude Missidimbazi
« Interrogé par les Pharisiens pour savoir quand viendrait le royaume de Dieu, il leur répondit : Le royaume de Dieu ne vient pas de telle sorte qu’on puisse l’observer.
On ne dira pas : Voyez, il est ici, ou : Il est là. Car voyez, le royaume de Dieu est au-dedans de vous.
Et il dit aux disciples : Des jours viendront où vous désirerez voir l’un des jours du Fils de l’homme, et vous ne le verrez pas. On vous dira : Il est ici, il est là. N’y allez pas et n’y courez pas.
En effet, comme l’éclair resplendit et brille d’une extrémité du ciel à l’autre, ainsi sera le Fils de l’homme en son jour.
Mais il faut auparavant qu’il souffre beaucoup et qu’il soit rejeté par cette génération.
Ce qui arriva aux jours de Noé arrivera de même aux jours du Fils de l’homme. Les gens mangeaient, buvaient, se mariaient, étaient donnés en mariage, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; le déluge vint et les fit tous périr.
Il en sera comme au temps de Loth. Les gens mangeaient, buvaient, achetaient, vendaient, plantaient, bâtissaient, mais le jour où Loth sortit de Sodome, une pluie de feu et de soufre tomba du ciel et les fit tous périr.
Il en sera de même le jour où le Fils de l’homme se révèlera.
En ce jour-là, que celui qui sera sur la terrasse et qui aura ses affaires dans la maison, ne descende pas pour les prendre ; et que celui qui sera dans les champs, ne retourne pas non plus en arrière. Souvenez-vous de la femme de Loth.
Celui qui cherchera à préserver sa vie la perdra, et celui qui la perdra la retrouvera.
Je vous le dis, en cette nuit-là, de deux personnes qui seront dans un même lit, l’une sera prise et l’autre laissée; de deux femmes qui moudront ensemble, l’une sera prise et l’autre laissée. De deux hommes qui seront dans un champ, l’un sera pris et l’autre laissé.
Les disciples lui dirent : Où sera-ce, Seigneur ? Et il répondit : Où sera le corps, là s’assembleront les aigles.
Jésus leur dit une parabole, pour montrer qu’il faut toujours prier et ne pas se lasser.
Il dit : Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait pas Dieu et qui n’avait d’égard pour personne. Il y avait aussi dans cette ville une veuve qui venait lui dire : Fais-moi justice de mon adversaire.
Pendant longtemps il ne voulut pas. Mais ensuite il dit en lui-même : Bien que je ne craigne pas Dieu et que je n’aie d’égard pour personne, néanmoins parce que cette veuve me cause des ennuis, je lui ferai justice, de peur que jusqu’à la fin, elle ne vienne me casser la tête.
Le Seigneur ajouta : Entendez ce que dit le juge inique. Et Dieu ne ferait-il point justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tarderait-il à leur égard ? Je vous le dis, il leur fera promptement justice.
Mais, quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » Luc 17.20-18.8
Introduction
Notre méditation porte sur ce sujet si important qu’est la seconde venue du Christ Jésus.
Nous avons vu combien ce passage est fascinant : il aborde trois questions fréquemment posées et d’une importance capitale concernant la seconde venue du Christ :
- Son moment (Quand ?)
- Son lieu (Où ?) et
- Son but (Pourquoi ?)
Nous avons vu ensemble qu’au lieu de donner un calendrier des événements futurs, ce texte nous exhorte à être toujours prêts.
Si il faut retenir une seule phrase de ces passages que nous lisons ce serait : « Ne perdez pas de temps à essayer de prédire l’action future de Dieu. Concentrez vous plutôt sur la manière de suivre fidèlement Jésus dans le présent. »
La Bible nous montre ici que la fin ne viendra pas selon les calculs et les observations humaines. Par contre quand la fin viendra, elle sera visible pour tous.
L’auteur de l’Évangile selon Luc souhaite que ses lecteurs aient des certitudes.
Dès le premier chapitre d’ailleurs, il insiste sur le fait que ce que il va écrire est vrai et s’accomplira : « Puisque plusieurs ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, tels que nous les ont transmis ceux qui, dès le commencement en ont été les témoins oculaires et qui sont devenus serviteurs de la parole, il m’a semblé bon à moi aussi, après avoir tout recherché exactement depuis les origines, de te l’exposer par écrit d’une manière suivie, excellent Théophile, afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus. » (Luc 1.1-4)
Nous voulons rappeler les cinq certitudes que nous avons méditées au chapitre 17 :
- Le Royaume de Dieu est déjà venu en Jésus (v.20-21)
- Le Royaume de Dieu viendra dans sa plénitude lorsque Jésus reviendra de manière visible (v.22-24)
- Le Royaume de Dieu ne viendra que grâce à la souffrance et à la mort de Jésus (v.25)
- Le Royaume de Dieu viendra avec un jugement certain pour ceux qui ne sont pas prêts (v.26-30)
- Le Royaume de Dieu viendra avec un jugement soudain pour ceux qui sont attachés à ce monde (v.31-36)
Nous voulons maintenant considérer le message du S eigneur Jésus concernant la prière persévérante (Luc 18.1-8).
La certitude que nous voulons ternir est la suivante : En attendant le retour du Fils de l’homme, la foi se manifeste par une prière persévérante.
Les disciples doivent prier avec persévérance en attendant leur justification de peur de tomber pendant la période d’attente où l’injustice règne.
Pour nous exhorter à vivre cette vérité, le Christ Jésus raconte une histoire.
Une parabole adressée aux disciples du Christ
Cette parabole est adressée aux disciples.
Dans le contexte étroit, nous savons qu’il est question des choses qui doivent arriver.
Ce passage nous invite à nous examiner pour savoir si nous serons réellement prêts et capables de tenir ferme face aux choses difficiles et malheurs qui vont arriver avant le retour du Christ Jésus.
Le Christ Jésus exhorte Ses disciples d’hier comme aujourd’hui. Il nous dit une parabole afin de montrer qu’il faut toujours prier, de peur que les choses, les épreuves, souffrances qui nous arrivent nous fassent céder aux attaques, aux manœuvres du diable.
Est-ce qu’un chrétien peut être heureux et tenir dans le temps si sa prière n’est jamais exhortée ?
Non, lorsque nous savons que D ieu écoute notre prière, cela nous réconforte, nous donne de la force et de l’assurance.
Lorsqu’Il nous exauce, cela confirme nos certitudes que ce que le Christ Jésus promet, Il l’accomplit également.
Le Christ Jésus enseigne ici une doctrine de vie : Il savait Lui-même Se retirer pour passer du temps avec Son Père. Il ne cessait jamais de prier, Il passait des nuits en prière.
Le Christ Jésus n’a jamais cessé de prier, depuis le début de sa vie, jusqu’à la fin de sa vie : même sur la Croix, Jésus a prié.
« Jésus leur dit une parabole, pour montrer qu’il faut toujours prier et ne pas se lasser. »(v.1)
Le but de la parabole est indiqué : l’enfant de D.ieu doit toujours prier et ne pas perdre courage.
Nous sommes exhortés à ne pas nous décourager envers et contre tous. Face à l’adversité et les épreuves nous ne devons jamais laisser tomber l’autel de la prière !
Pourquoi devons nous persévérer dans la prière et ne jamais abandonner ? Parce que nos prières seront écoutées ! Le Christ Jésus nous l’explique et veut nous en convaincre.
Dans cette parabole, Il commence par :
- Un appel à persévérer dans la prière (v.1-5), avant de conclure par
- La réponse de Dieu : c’est à dire la manifestation de Sa justice envers Ses élus (v.6-8)
Un appel à persévérer dans la prière parce que Dieu se soucie des cris de Son peuple
Pourquoi devons nous continuer à prier et ne pas abandonner face à l’adversité ? En effet, il y a tant de raisons de le faire !
La première raison est que Dieu se soucie des cris de Son peuple (v.1-6)
Le Christ Jésus raconte donc une histoire.
« Il dit : Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait pas Dieu et qui n’avait d’égard pour personne. Il y avait aussi dans cette ville une veuve qui venait lui dire : Fais-moi justice de mon adversaire. » (v.2-3)
Dans la Bible, nous voyons de nombreuses lois protectrices envers les veuves. Cela montre qu’elles devaient faire face a de nombreux difficultés et que l’oppression et les épreuves étaient leur lot quotidien (Deutéronome 10, 27).
Dans la Bible, Dieu Lui-même défend la cause de la veuve : quiconque attentait aux droits de la veuve devait faire à Dieu.
Les prophètes de Dieu dénonçaient fréquemment le fait que les puissants ne défendent pas la cause des veuves et des orphelins (Ésaïe 1.23, Malachie 3.5).
La veuve de ce récit n’avait donc personne pour la soutenir.
Elle va s’adresser directement au juge pour qu’il prenne sa défense face à son adversaire.
Ce qui est étrange c’est qu’au lieu de se rendre devant un tribunal communautaire, elle s’adresse un juge mondain de mauvaise réputation.
En ce temps, les juges possédaient des pouvoirs importants. Le juge était l’arbitre final, il n’y avait ni jurés ni cour d’appel.
La charge de juge était très clair, et la Loi prévenait : « Vous n’aurez pas égard à l’apparence des personnes dans vos jugements; vous écouterez le petit comme le grand; vous ne craindrez aucun homme, car c’est à Dieu qu’appartient le jugement; et lorsqu’une cause sera trop difficile pour vous, vous la porterez devant moi, pour que je l’entende. » (Deutéronome 1.17)
Ce juge de la parabole n’avait malheureusement aucun sens de la responsabilité ni envers les personnes, ni envers Dieu.
Il a manqué à son devoir en ne prenant pas la peine d’entendre l’affaire de cette veuve !
Ce juge est dépourvu de principes religieux : il ne craint pas Dieu. Il est insensible à l’opinion publique : il n’éprouve aucune honte.
Face à ce juge tout puissant, il y a une veuve insignifiante, faible, sans pouvoir. Pourtant cette veuve a une arme puissante : sa persévérance. Elle est têtue, elle ne cède pas ! Elle harcèle le juge et demande au juge de l’aider à obtenir justice malgré la réputation de ce dernier, connu pour ne pas considérer ce genre de demande.
Et effectivement, au début, fidèle à lui-même, le juge ne fait aucun cas de la demande de la veuve, et refuse d’agir.
Pendant longtemps il ne voulut pas. Mais au final, il n’a pas pu supporté cette femme tenace : « Pendant longtemps il ne voulut pas. Mais ensuite il dit en lui-même : Bien que je ne craigne pas Dieu et que je n’aie d’égard pour personne, néanmoins parce que cette veuve me cause des ennuis [sans cesse], je lui ferai justice, de peur que jusqu’à la fin, elle ne vienne me casser la tête[sans cesse]. » (v.4-5)
La seule arme dont disposait cette veuve était de se rendre jour après jour auprès du juge avec la même requête.
Le Christ Jésus nous interpelle au verset 6 pour que nous comprenions bien ce qu’Il veut nous transmettre : « Le Seigneur ajouta : Entendez ce que dit le juge inique. Et Dieu ne ferait-il point justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tarderait-il à leur égard ? » (v.6-7)
Le Christ utilise la méthode des contrastes : Il oppose le pire de l’homme au meilleur de Dieu.
Si ce juge rude, terrible, qui de son propre aveu n’écoutait ni les hommes, ni Dieu, a cédé aux supplications de la veuve, à combien plus forte raisons, Dieu rendra-t-il justice à Son peuple qui prie jour et nuit !
En vérité, le plus faible est le plus fort, si ce faible est obstiné à obtenir de la part de Dieu Sa bénédiction.
Dieu entend les cris de Son peuple lorsque Son peuple crie vers Lui jour et nuit. Contrairement au juge qui n’avait pas de lien avec la veuve et ne voulait que s’en débarrasser, Dieu entend Son peuple : un peuple désiré, choisi, un peuple élu !
Notons les contrastes :
- Le juge a écouté la veuve pour une mauvaise raison, pour s’en débarrasser. Dieu écoute Son peuple parce qu’Il l’aime et défend Sa cause.
- Le juge agit de manière égoïste. Dieu agit en faveur de Son peuple, à cause de Son caractère généreux, à cause de Son amour.
À cause de Son caractère, notre Père entend les cris de Ses enfants.
Le message à retenir ici est que : Ceux qui prient un Dieu juste et aimant ne doivent jamais abandonner !
Ce qui est choquant c’est que même une personne de mauvaise moralité peut être persuadé par des supplications persistantes d’agir avec justice.
À plus forte raison notre Dieu !
Nuit et jour, nous devons nous tenir sur la brèche pour prier jusqu’à ce que nous obtenions la réponse de D.ieu.
v.6-8 La réponse de Dieu : la manifestation de Sa justice envers Ses élus
Le deuxième raison de persévérer et de prier sans cesse, c’est que Dieu répondra très certainement avec justice à Son Peuple.
C’est ce que le Christ explique : « Le Seigneur ajouta : Entendez ce que dit le juge inique. Et Dieu ne ferait-il point justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tarderait-il à leur égard ? Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » (v.6-8)
Quand les temps d’adversité sont là, il faut persévérer dans la prière pour tenir ferme et ne pas céder à la tentation.
Et le Christ promet que Dieu agira à l’égard de Ses élus. Dieu rendra justice à Son peuple, car c’est Son caractère d’écouter les prières.
Le psalmiste affirme en effet : « Toi qui écoutes la prière, tous les hommes viendront à toi. » (Psaume 65.3)
Dieu répond aux prières en Son temps et conformément à Sa volonté.
Dieu a promis de répondre, et l’attente ne semblera plus avoir été longue quand Il répondra.
Mais le Seigneur a le droit de ne pas répondre tout de suite à nos prières.
Cela dépendra des sujets, mais l’attente de Dieu peut s’expliquer par le fait qu’Il veut :
- Apprendre la patience
- Renforcer notre foi
- Attendre le moment opportun
- Purifier nos vies
Dieu a un projet plus grand que nos propres vies, à l’exemple de ce qu’il a fait avec le patriarche Joseph.
Le temps de Dieu n’est pas notre temps.
Dans tous les cas, il ne faut jamais céder au découragement et à la paresse.
En faisant référence à Sa seconde venue, le Christ Jésus relie la justice de Dieu à ce que nous avons médité les dimanches précédents sur Son Royaume.
« Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » (v.8)
Jesus est désigné par Dieu, comme juge des vivants et des morts. Le retour du Fils de l’homme ne peut être remis en question : cet évènement s’accomplira au moment fixé par Dieu.
La question se pose donc : les disciples de Jésus vont ils continuer à prier sans cesse pour la venue du Royaume de Dieu ?
Le Christ Jésus a déjà accompli Son œuvre mais le croyant restera-t-il fidèle à Jésus en communiquant constamment avec Lui dans la prière ?
Par cette parabole, le Christ Jésus exhorte Ses disciples à rester fidèles même si Son retour peut impliquer une attente patiente.
La prière incessante exprime notre foi pendant que nous attendons le retour du Christ Jésus.
Ce qui est important aux yeux de Dieu c’est d’être fidèle jusqu’à la fin.
Le Christ Jésus nous donne une certitude : Dieu rendra Sa justice en particulier lorsque Jésus va revenir pour juger la terre.
Dieu est fidèle pour agir en faveur de Son peuple et le justifier.
Par Ses actes dans le présent et lors du futur jugement dernier, Dieu est fidèle !
Le S.eigneur entend que nous avons besoin de justice !
Le peuple de Dieu est persécuté, crie et pleure pour que Dieu intervienne.
« Ils crièrent d’une voix forte : Jusques à quand, Maître saint et véritable, tardes-tu à faire justice et à venger notre sang sur les habitants de la terre ? » (Apocalypse 6.10)
Ce temps arrive et c’est une promesse : tout sera réglé !
« Une robe blanche fut donnée à chacun d’eux, et il leur fut dit de se tenir en repos quelque temps encore, jusqu’à ce que soient au complet leurs compagnons de service et leurs frères qui allaient être mis à mort comme eux. » (Apocalypse 6.11)
Certes Dieu est désireux de justifier Son peuple, mais dans Sa sagesse infinie, Il a des raisons de nous faire attendre.
Attendre la réponse de Dieu reste difficile, mais nous ne devons jamais perdre espoir, continuons à croire et à prier.
« Le Seigneur ne retarde pas l’accomplissement de sa promesse, comme quelques-uns le pensent. Il use de patience envers vous, il ne veut pas qu’aucun périsse, mais il veut que tous arrivent à la repentance. » (2 Pierre 3.9)
« Nous savons, du reste, que toutes choses coopèrent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. » (Romains 8.28)
La prière témoigne de la foi en l’existence de D.ieu et de la conviction que Dieu est juste, attentionné et accessible.
Conclusion
Le Christ nous laisse avec cette question : « Mais, quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » (Luc 18.8)
L’apôtre Paul nous avertit : « Que personne ne vous séduise d’aucune manière; car il faut qu’auparavant l’apostasie soit arrivée, et que se révèle l’homme impie, le fils de perdition, l’adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou qu’on adore, et qui va jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu et se faire passer lui-même pour Dieu. Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais cela, lorsque j’étais encore auprès de vous? Et maintenant vous savez bien ce qui le retient, pour qu’il ne se révèle qu’en son temps. Car déjà le mystère de l’iniquité est à l’œuvre, il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Alors se révélera l’impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche et qu’il écrasera par l’éclat de son avènement. L’avènement de l’impie se produira par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l’injustice pour ceux qui périssent, parce qu’ils n’ont pas reçu l’amour de la vérité pour être sauvés. Aussi Dieu leur envoie une puissance d’égarement, pour qu’ils croient au mensonge, afin que soient jugés ceux qui n’ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l’injustice. » (2 Thessaloniciens 2.3-12)
Les disciples ne doivent pas perdre courage si le Royaume de Dieu ne vient pas rapidement ou si leur prière n’est pas immédiatement exaucée.
En attendant le retour du Fils de l’homme, la foi se manifeste par la prière persévérante !
Leave a Reply